​

 

Le site de la Caserne est, par sa compostion, dejà suffisamment empreint d’une histoire forte que pour créer une nouvelle cité abstraite et acontextualisée; avenue de la Couronne , boulevard Général Jaques , à la lisière de deux communes , à cheval entre quartiers résidentiels et artères de circulations, sont tout autant de facteurs initiants un potentiel créatif et physiques engendrant un processus de dévellopement conscient de ces enjeux.

   

L’essence de ce projet est un systeme du «vide» resultant du conglomerat d’intersections de lignes de forces du contexte tel un ideograme Chinois (terme utilisé par Rem Koolhaas).

     

Nous proposons un dévellopement direct de la caserne concervant le vide. Certains sont , en partie , issus du bâti éxistant, déterminés pour joindre le neuf aux fragments historiques ; extention du parvis de la gare d’etterbeek, dévellopement de la place du manège.

​

Les « connectrices » suivent le tracé des artères principales créant, de ce fait, des élements urbains controlés, tandis que d’autres distribuent les composants majeurs du nouveau quartiers sur le site.

          

Si ce systeme de connectrices est etabie, le site de la caserne sera garante d’accessibilité et de services urbains au regard de son architecture propre.

     

La proposition fait emmerger au négatif des connectrices , un petit archipel d’ilots résiduels , différenciés par leurs tailles, leurs formes , leur localisation et leurs confrontations au tissus formé. Chaque ilot, peut être devellopé independamment des autres suivant le schéma de fonction.

  ​